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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 20:49

Dans la nuit du 28 Août 1963, après avoir souper, Fernando Eustaquio Gualberto (12 ans), Ronaldo Eustaquio Gualberto (7 ans) et José Marcos Gomes Vidal (7 ans), sortirent dans le jardin afin de laver un percolateur à café avec de l'eau d'un réservoir se trouvant à côté du puits. Atteignant le jardin par la porte arrière de la maison, Fernando remarqua que le jardin était brillamment éclairé, mais n'en fut pas trop surpris, car c'était la pleine lune. José Marcos alla rapidement vers le réservoir d'eau et baissa la tête et les bras pour puiser de l'eau avec un bol. Ce fut Ronaldo, qui se trouvait derrière lui et plus près de l'angle droit de la maison, qui vit avec surprise la source de la lumière éclairant le jardin, car la lampe du jardin elle-même n'était pas allumée. Un objet sphérique éclairé à l'intérieur et ayant des parois transparentes, flottait, immobile, à environ cinq mètres du sol et à huit mètres des enfants au-dessus d'un avocatier proche de la maison.

Le diamètre du globe était comparable à la largeur de la pièce principale de leur habitation, soit trois mètres à trois mètres cinquante. Cette sphère lumineuse était divisée en plusieurs petits carrés. A sa partie supérieure sortait une sorte d'antenne consistant en deux tiges formant un angle en "V", se terminant par une petite boule, et une, et une tige centrale plus courte.

 

ufoaliens-belohorizonte1963-brazil-annunakia.jpg

 

A travers les parois de la sphère, on pouvait voir quatre personnes, assises sur des sortes de tabourets à un seul pied. Un des personnages, occupant le siège arrière, avait une apparence masculine et plus fortement charpentée que les autres. Droit devant lui, au milieu du globe, se trouvait ce qui paraissait être une femme, avec des cheveux blonds, longs, peignés en arrière. Sur le siège avant était un homme semblable au premier, mais beaucoup plus mince, qui avait l'air de contrôler des instruments sur un panneau comportant une sorte d'écran de téléviseur. Le quatrième « homme », qui sortit ensuite de la sphère, était assis à la gauche de la « femme » au centre de l'engin. Tous portaient une sorte de combinaison, similaire à celles des plongeurs, et avaient la tête dans un casque transparent. Ils présentaient une grande similitude en ce qui concerne leurs uniformes. Leurs torses étaient revêtus d'une partie de vêtement de couleur brun-noir. Au-dessous de la taille, l'habillement était blanc, jusqu'aux genoux, à partir de quoi ils étaient noirs, ainsi que les jambes (ils portaient des « souliers noirs » d'après les trois garçons). Ces uniformes paraissaient faits de cuir et étaient plissés aux endroits correspondant aux articulations et à la poitrine des occupants.

En l'affaire de quelques secondes, deux rayons parallèles de lumière jaune furent projetés contre le sol, du dessous de l'appareil. Entre ces deux rayons, un des hommes descendit, comme en glissant sur le faisceau de lumière, jusqu'à ce qu'il touche le sol. Sitôt qu'il fut par terre, le personnage s'avança vers les témoins. Fernando et Ronaldo se retrouvèrent presque sans se rendre compte tout contre leur maison, complètement stupéfaits, et ne purent avertir José Marcos, qui, avec la tête à l'intérieur du réservoir, n'avait encore rien perçu.

D'un pas régulier, mesuré, ses bras se balançant légèrement écartés du corps, et apparemment n'ayant pas aperçu Fernando et Ronaldo, l'homme s'approcha du puits, où il s'arrêta. Alors il étendit le bras vers José Marcos. Interprétant ufoaliens-belohorizonte1963-brazil-annunakia22ce geste comme une menace envers leur compagnon, Fernando sauta contre José, le faisant tomber violemment sur le sol, afin d'empêcher l'inconnu de le saisir. Pendant que José Marcos était encore étendu, étonné, l'homme, sans bouger, regarda Fernando, puis Ronaldo. Ce dernier s'était reculé au fond du jardin dans l'intention de se réfugier à l'intérieur de la maison, mais dans sa course effrénée, il se cogna un genou contre contre le mur d'angle et la douleur le fit s'arrêter. A ce moment, l'homme le regarda. Ronaldo alors refit quelques pas en direction de ses compagnons et se tint passif, tous se sentant du reste sans forces, incapables de s'enfuir ou de crier. L'homme fit une série de gestes avec ses mains, horizontalement, accompagnés par des mouvements de la tête et d'étranges mots. Fernando déclara qu'après ces gesticulations, ses craintes disparurent. Maintenant calmés, et à une distance d'environ deux mètres de lui, les enfants purent commencer à observer avec plus d'attention l'étrange visiteur. Il avait seulement un oeil. Il était complètement chauve, comme l'étaient également deux de ces compagnons, et sa peau avait un teint fortement rougeâtre. Son immense silhouette fut comparée par les enfants au format de la porte latérale de la maison qui mesure bien deux mètres de large. Sur le casque transparent, il y avait une sorte d'antenne en forme de boucle avec une petite boule suspendue à l'intérieur. L'oeil du personnage était grand, rond et sombre et ne possédait pas la partie blanche que nous appelons la sclérotique.

José Marcos est positif en ce qui concerne la partie centrale de l'oeil, qui, au lieu d'avoir une pupille ronde, avait seulement une fente horizontale plus sombre. Au-dessus de l'oeil, bougeant fréquemment, se trouvait une partie sombre en relief, que les enfants prirent pour les sourcils. Les habits couvraient totalement le corps de l'homme, et semblaient légèrement gonflés.

L'homme s'assit sur la margelle du puits, son profil contre les enfants, et son regard dirigé vers la machine où ses compagnons étaient visibles. La hauteur qu'atteignait sa tête dépassait le treuil du puit. Prenant avantage de l'apparente distraction de l'étrange visiteur, en se moment, Fernando fit quelques pas et se plaça derrière lui. Rapidement, il attrapa un morceau de brique sur le sol, et leva le bras pour jeter ce projectile dans le dos de l'individu. Inexpliquablement, comme s'il avait senti ce qui allait arriver, l'homme sauta sur ses pieds et se tourna vers Fernando d'un mouvement rapide, faisant jaillir, d'une boite rectangulaire située au niveau de sa poitrine, un faisceau de lumière jaune qui atteignit la main du garçon, la faisant trembler pendant un moment. La brique tomba par terre, et les enfants eurent l'impression que l'homme, regardant rapidement vers la machine, reçut de son compagnon assis aux commandes un geste qu'ils interprétèrent comme une action de dissuasion. A ce moment, les garçons perçurent plus nettement que cet autre membre de l'équipage, lui aussi n'avait qu'un oeil central. Pendant le bref instant où l'homme qui était avec eux avait eu le dos tourné, ils purent noter qu'il portait, fixé sur son vêtement, dans le dos, une boîte de couleur cuivre. En un langage étrange, et d'une voix très forte, accompagnée de gestes nombreux des mains, de la tête et de l'oeil, l'homme semblait maintenant faire tout son possible pour se faire comprendre des enfants qui se tenaient là passivement à l'observer. Formant un cercle avec son pouce et son index, il traça divers cercles en l'air autour de son premier cercle au moyen du pouce et de l'index de l'autre main, parlant tout en même temps. Puis il désigna les enfants du doigt, et avec une certaine difficulté, essaye de placer les paumes de ses mains contre sa tête, comme s'il faisait le geste de dormir. Enfin il montra la lune, faisant un geste d'élévation progressive avec les mains pour indiquer le vol dans cette direction.

 

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Après quoi, il se tourna, et partit lentement vers la machine, suivant le même chemin que lorsqu'il était venu. Le voyant s'en aller, José Marcos demanda anxieusement à Fernando : « Reviendra-t-il ? » A leur étonnement, l'homme tourna la tête vers eux et fit quelques mouvements verticaux en réponse à la question. A mi-chemin du parcours, il se baissa et ramassa une plante d'un lit de fleurs, avec sa main gauche. Atteignant l'endroit où il avait touché le sol en arrivant, il fit un léger geste de la main, et les deux faisceaux de lumière réapparurent, reliant la machine au sol. Montant doucement entre les deux rayons lumineux, en position debout, comme lors de la descente, il entra ensuite dans l'appareil, et les enfants purent le voir prendre son siège à côté de ses compagnons. La machine devint alors très lumineuse et s'éleva obliquement et silencieusement vers l'Est. Puis ses lumières s'éteignirent et elle s'évanouit à la vue des enfants qui restaient là, étonnés.

Sitôt qu'ils se sentirent seuls à nouveau, les enfants coururent à la maison en appelant leur mère, Doña Maria José. Elle était en train de surveiller son bébé dans la pièce de devant, et n'avait rien vu de ce qui s'était passé pendant les quelques minutes qu'avait duré l'incident, à l'exception d'une forte lumière qui était apparue de l'extérieur, et à travers les volets. Elle avait trouvé cela étrange sur le moment, car elle savait qu'il n'était pas possible à des feux de voiture d'atteindre les fenêtres de la maison. Mais elle n'avait pas prêté attention outre mesure à ce phénomène jusqu'à l'arrivée tumultueuse des enfants criant : « Maman, viens voir cette terrible chose ! ». En plus de l'agitation et de la pâleur de ses propres fils, ce qui l'impressionna surtout fut que José Marcos le fils de ses voisins, quand il fut entré dans la maison, se précipita sous un des lits, où il se cacha terrorisé.

Au moment de l'événement, Sr. Alcides Gualberto, père de deux des enfants, se trouvait dans un bar voisin, conversant avec des amis. Doña Maria envoya une fille le chercher. « Papi, cria-t-elle, il y a des des drôles de gens dans le jardin. » Courant tout de suite chez lui, Sr. Alcides fut étonné par le récit des enfants et sortit examiner le jardin.

Il put alors voir sur la terre battue, un certain nombre de petites marques triangulaires le long du trajet que l'inconnu avait suivi. Ces dépressions étaient assez profondes et d'environ 1,5 cm de longueur, ce qui montrait qu'elles avaient été faites par quelqu'un ou quelque chose de lourd. Ce même soir, Sr. Alcides retourna auprès de ses amis pour leur raconter l'étrange aventure survenue aux enfants, mais leur réaction, comme celle du voisinage du reste, fut négative, personne n'y crut. Un voisin nommé Jamil, vint voir les traces sur le sol, la même nuit. Quant à Doña Maria José, son anxiété s'accrut quand elle vit que les enfants refusaient absolument de sortir dans le jardin la nuit, ce qui été contraire à leur habitude depuis longtemps. Elle parla aux voisins de cette aventure, ainsi que du cas de Zita Jani, mais leur incrédulité persista.

Elle précise que face à cette attitude, Fernando réagissait en disant : « Ils ne veulent pas y croire? Eh bien un jour ils verront ce que nous avons vus, et ce sera la preuve que nous n'avons pas menti. »

 

( Le Mystère des O.V.N.I. - R. Jack PERRIN )

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